Les agressions scolaires ne sont plus un sujet tabou et deviennent de plus en plus fréquentes au premier degré de l’enseignement. Les méfaits de certains élèves gagnent de plus en plus de terrain et laissent victimes certains de leurs camarades. Les élèves sont souvent soumis à des agressions verbales, physiques et morales et il faut se poser la question de savoir si elles ne sont pas victimes d’agression sexuelle. Et de ce fait, il faut se demander comment agir pour protéger les enfants d’éventuelles agressions. Que doit-on faire après ces agressions ? Quelles sont les conséquences pour les enfants victimes d’agression scolaire au premier degré ? Que faut-il savoir sur les répressions et sanctions établies contre les agresseurs ? Découvrez dans cet article comment combattre l’agression scolaire au premier degré.
Quand est-ce qu’on parle de harcèlement scolaire ?
Au premier degré, l’élève est agressé quand il commence par être victime d’insultes , de coups et de moqueries de manière répétée. Ça peut être des mots qui font mal, des moqueries qui le rabaissent, ou même des brimades. L’élève n’a plus le temps de se reposer car il se sent constamment lésé. Et le pire, c’est que ça peut arriver partout. Si ces symptômes ou signes apparaissent c’est que l’enfant est agressé.
Que représente l’agression au premier degré ?
Il revêt plusieurs formes comme les insultes, les bousculades et même les coups. C’est un phénomène dangereux pour les victimes et qui échappe parfois à la vigilance des professeurs des écoles. Les élèves victimes sont blessés, peuvent avoir du dégoût pour l’enseignement des professeurs d’écoles et peuvent souffrir de traumatisme émotionnel. L’anxiété apparaît, les performances scolaires diminuent drastiquement et la dépression vient. L’école devient pour l’élève un lieu à fuir. Il ne se sent plus accepté et ça le ronge.
Tout le système éducatif est touché commençant d’abord par les instituteurs qui doivent s’assurer de créer un havre de paix dans leur classe et établir de bonnes relations amicales entre leurs apprenants. Établir une communication entre les élèves, lui et la direction. Et s’il n’est pas bien gérer, il peut conduire à des conséquences fâcheuses tels que le dysfonctionnement au sein de l’établissement d’enseignement.
Quelles sont les stratégies d’intervention contre le harcèlement au premier degré ?
Lorsqu’il s’agit de stratégies d’intervention face aux agressions au premier degré, il est essentiel de suivre un protocole rigoureux pour protéger les élèves victimes. Les cas n’étant pas généralement les mêmes, il faut savoir bien s’y prendre. Il faut :
- Détecter le cas d’agression ;
- Installation des mesures préventives ;
- Initier une procédure d’agression au premier degré ;
Détection du cas
D’abord, quand un cas d’agression est détecté au premier degré, le directeur d’école et l’ensemble des instituteurs de son école statuent sur le cas. Il s’ensuit des discussions avec l’élève victime afin qu’il puisse expliquer tous les faits. Cela à pour but de véritablement savoir s’il s’agit d’un harcèlement et quels en sont les auteurs et les causes.
Installation des mesures préventives
Ensuite, il est mis en place des mesures préventives pour protéger la victime. L’école prend les dispositions nécessaires pour faire face au problème. Un entretien est fait avec les parents de la victime et ce dernier est placé sous la surveillance et la vigilance de tous les enseignants.
Mise en place de la procédure d’agression au premier degré
En sa qualité d’organe suprême de l’école , le directeur va dénoncer les cas d’agression à l’école primaire au ministère de l’éducation nationale. Une collaboration devra naître l’inspecteur entre l’éducation nationale et le directeur qui ensemble vont établir une procédure disciplinaire contre le harcèlement.
Comment prévenir et combattre le harcèlement scolaire ?
La lutte contre les agressions à l’école primaire doit se faire à travers une sensibilisation massive de tout le monde ; des parents en passant par les enseignants à l’administration des écoles. Et même à l’échelle nationale par le ministère de l’éducation nationale.
Le système éducatif national doit mettre l’accent sur une éducation aussi axée sur la sensibilisation des professeurs des écoles sur ce danger. Les professeurs des écoles qui eux doivent faire passer le message en créant un univers agréable pour tous les enfants. Cette sensibilisation doit s’étendre aux enfants et aux parents. Ce qui peut se faire à travers l’organisation de campagnes de sensibilisation afin de rendre l’éducation nationale agréable à tous les élèves.
Les élèves doivent comprendre l’importance de maintenir une communication positive entre eux. Quant aux parents, ils doivent apprendre à communiquer avec leurs enfants sur tous les aspects de leur cursus scolaire et à surtout leur enseigner l’empathie et l’acceptation de l’autre. Chacun doit comprendre le rôle qu’il joue dans cette lutte.
Existe-t-il des sanctions pénales contre les agressions au premier degré ?
Il est possible pour une victime d’agression même au premier degré de porter plainte et donc il est possible pour les auteurs de faire face à la justice. Il existe évidemment des sanctions contre les agressions au premier degré. Celles-ci diffèrent selon l’auteur des agissements. Selon que ce dernier soit âgé de moins de 13 ans ans, qu’il ait plus ou qu’il soit majeur.
Ici pour le premier degré, les enfants étant âgés de moins de 13 ans, ils ne peuvent être condamnés à aucune peine d’emprisonnement ou de paiement d’amende. Ils sont quand même puni selon certaines règles comme des sanctions disciplinaires. Mais au second degré, la loi n’est pas du tout tendre envers ceux là qui ont plus de 13 ans et où sont majeurs car leur cas est condamnable.
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